De nos jours, l’immobilier est connu pour être l’un des investissements les plus rentables, au point où l’on ne puisse vraiment parler d’investissement sans y faire allusion. Investir dans la pierre est en effet plus solide, plus concret et moins risqué comparé aux monnaies virtuelles ou à la bourse. La rentabilité est d’autant plus importante, mais tout dépend aussi du capital de départ. Naturellement, l’immobilier rythme avec importance des capitaux, ce qui explique que tout le monde ne s’y aventure pas forcément.
C’est pourquoi il est nécessaire de mesurer l’envergure d’un investissement locatif avant d’envisager son capital de départ. D’autre part, il existe des astuces pour commencer avec peu voire zéro capital initial.
Investissement locatif, présentation
L’investissement locatif consiste à acheter un bien immobilier dans le but de le mettre en location pour une certaine période que l’on appelle bail. Ainsi, le propriétaire reçoit de son locataire des sommes d’argent de manière périodique. Et à la fin du bail, le processus peut être renouvelé ou alors le bien peut être transmis. Ceci arrive lorsque le propriétaire décide par exemple de céder son bien.
Il y a de nombreux avantages à se lancer dans ce type particulier d’aventure financière. En tant qu’investisseur, vous allez par exemple vous constituer un patrimoine, gagner des revenus complémentaires, et éventuellement bénéficier d’une économie d’impôt sur votre revenu en fonction du type de bien acheté.
En réalité, ce type d’investissement profite aussi à l’État, car il comble le déficit de logements et dynamise l’économie. Raison pour laquelle l’État offre des réductions fiscales encore connues sous le terme de « Niches ». Hormis la fiscalité avantageuse, l’investissement locatif offre un rendement plus élevé.
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Investissement locatif, financer soi-même
Avant de vous lancer dans cette aventure prometteuse, il est important d’établir une stratégie patrimoniale claire. Si vous avez choisi de financer cash, gardez à l’esprit que l’investissement dans l’immobilier n’est pas très liquide dans les débuts. Il est donc nécessaire de bien y penser avant d’agir.
Évaluez aussi vos moyens de sorte que si cela s’avère insuffisant, que vous ayez des solutions alternatives. Bien que l’immobilier soit assez rentable, il possède comme tout investissement, des risques. Il peut souvent arriver que les choses ne se passent pas prévues.
Selon vos moyens et votre aversion au risque, vous pouvez choisir de commencer petit. Si vous n’avez pas envie de prendre un prêt ou d’investir des milliers d’euros, il y a deux types de solutions que vous pouvez vous permettre dès 500 €. Il s’agit notamment de la pierre papier (OPCI, SCPI, etc.) et de l’investissement participatif.
Avec des montants raisonnables comme 1 000 €, 10 000 €, voire 50 000 €, vous pouvez gouter à l’immobilier sans avoir à subir les contraintes de l’investissement direct. D’autre part, vous pouvez aussi investir sans apport ou à crédit.
Investissement locatif avec zéro capital initial
À moins d’avoir énormément d’argent, vous ne pouvez pas vous permettre de puiser dans votre épargne pour réaliser ce type de projet et pour cela, les banques sont à vos côtés. Comme vous n’avez pas besoin d’être très riche pour emprunter, c’est une bonne alternative pour financer l’acquisition de votre bien immobilier.
Et par la suite, vous allez vous servir des loyers pour rembourser l’emprunt et éventuellement réaliser des économies. Une fois que vous avez fixé vous objectifs et identifié le bien, faites des simulations de prêt immobilier. Ensuite, rendez-vous dans les organismes de crédits qui proposent les meilleurs taux et sollicitent des offres personnalisées.
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Conclusion
Bien que l’investissement à crédit soit intéressant, vous devez tout de même prendre en compte votre situation avant de choisir le montant de l’emprunt. Il y a des règles à suivre pour réaliser un investissement de manière sécurisée. Il est préférable que votre taux d’endettement ne dépasse les 1/3. Notez aussi que la capacité d’investissement évolue avec l’âge. En général, le patrimoine passe d’abord par la phase de constitution, ensuite celle de jouissance, pour se terminer par la phase de transmission. L’emprunt est par exemple à privilégier si vous êtes encore à la première phase, à condition que cela soit possible pour vous. Au cas contraire, contentez-vous de commencer petit.