Dans un monde toujours plus globalisé, les opportunités d’investissement ne sont pas limitées aux pays francophones. Pour les personnes intéressées par l’investissement international, c’est sans doute le meilleur moment pour développer votre portefeuille d’investissement mondial. L’achat d’actions étrangères permet de se diversifier, de répartir les risques, de s’exposer et de participer à la croissance des économies étrangères. Si vous envisagez de le faire, nous allons vous donner quelques conseils pour correctement réaliser votre entrée au capital d’une société étrangère.
Dans cet article, nous allons vous présenter les moyens les plus simples d’investir sur les marchés internationaux, les risques potentiels, les différents types d’investissement, etc.
Établir le pourcentage d’investissement
Votre investissement à l’international se traduira par une entrée au capital d’une société étrangère. D’une façon générale, les conseillers financiers et les conseillers en patrimoine considèrent que les actions étrangères constituent un complément judicieux à tout portefeuille d’investissement. Traditionnellement, une prise en possession de 5% à 10% est recommandée pour les investisseurs prudents, et jusqu’à 25% pour les investisseurs agressifs.
Ce pourcentage sera à déterminer par le biais de discussions avec les gérants ou les actionnaires de la société dans laquelle vous souhaitez investir.
Soigner sa présentation
Que vous souhaitiez présenter un dossier racontant votre parcours et les autres investissements de votre entreprise, il faudra soigner votre présentation. Allez à l’essentiel et renseignez uniquement les informations pertinentes dans le cadre de votre entrée au capital de l’entreprise. Lorsque l’entreprise est à l’étranger, il faudra traduire ce dossier de présentation.
La traduction de vos documents financiers devra également être réalisé, mais aussi ceux des statuts de votre entreprise. L’objectif sera de rendre ces documents compréhensible par les actionnaires de la société dans laquelle vous souhaitez investir. Pour ce faire, faites appel à un traducteur bulgare proposant des traductions juridiques. En effet, celle-ci sera plus experte pour prendre en charge ce type de documents.
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Franchir la barrière de la langue
Avant d’investir, il est important de souligner les risques potentiels liés à l’investissement international. Investir sur les marchés étrangers peut être une manœuvre délicate, principalement en raison des différentes langues (que vous ne parlez peut-être pas) et des conversions de devises. Il convient également de préciser que certains pays sont moins réglementés que la France ou même les États-Unis, ce qui accroît le risque de manipulation et/ou de fraude.
Faire de la veille international sur des sites spécialisés et la collaboration avec un cabinet d’affaire international ou un traducteur est ainsi vivement recommandé afin d’éviter tous les problèmes.
L’investissement direct à l’étranger
Les investisseurs peuvent acheter directement des actions étrangères de deux manières. L’une consiste à ouvrir un compte global auprès d’un courtier de votre pays, l’autre à ouvrir un compte auprès d’un courtier local dans le pays cible. L’investissement direct à l’étranger n’est peut-être pas la meilleure option pour l’investisseur occasionnel.
Il y a des coûts supplémentaires, des implications fiscales, des recherches, des conversions de devises et des besoins d’assistance technique qui peuvent s’avérer délicats. Les investisseurs actifs et sérieux devraient envisager l’investissement direct à l’étranger.
Trouver le meilleur fonds pour votre portefeuille
Les investissements étrangers dépendent toujours des objectifs de l’investisseur et de son goût du risque. En règle générale, les fonds communs de placement sont gérés par des investisseurs professionnels, tandis que les fonds négociés en bourse (ETF) sont gérés passivement et leurs avoirs sont basés sur un indice préexistant. Cependant, les fonds communs de placement ont tendance à être plus chers que les ETF.
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Une fois que l’investisseur a choisi le bon type de fonds dans lequel investir, l’étape suivante consiste à déterminer le meilleur endroit au monde pour investir. La plupart des conseillers financiers recommandent aux investisseurs débutants d’opter pour des fonds plus risqués qui offrent un potentiel de rendement élevé, tandis que les investisseurs plus expérimentés recherchent des fonds moins risqués qui offrent une plus grande stabilité.
Conclusion
Investir à l’étranger est, comme tout investissement, une démarche complexe et particulièrement risquée. Cependant, celle-ci peut être source de nombreuse opportunités d’affaire. Avec un dossier bien préparé et correctement traduit, vous multiplierez les chances de réaliser un investissement avec un fort rendement.